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Vous désirez un enfant
qui tarde à arriver ?

Tout comme quand on a mal aux dents, on va chez le dentiste, quand on n’arrive pas à avoir des enfants, on a besoin d’un centre spécialisé avec des professionnels prêts à nous aider à identifier le problème et à le résoudre.

Le Centro di Fecondazione Assistita, avec son approche holistique, est l’un des meilleurs centres du sud de l’Italie pour réaliser son rêve d’avoir un enfant. Lorsqu’on nous demande ce que nous faisons, nous répondons : « Nous faisons naître des enfants ! », parce que ça, c’est notre objectif, et c’est le rêve que nous partageons avec tous les couples qui viennent nous voir parce que ça fait déjà des mois qu’ils essaient d’avoir un enfant, mais ils n’y arrivent pas.

La fatigue et le désespoir doivent laisser la place à la force et à la détermination. Nous sommes là pour vous soutenir et vous guider vers le bonheur. La première chose qu’on fait lorsqu’on vous connaît, c’est de vous écouter, parce que chaque histoire est unique et à travers la vôtre nous pouvons beaucoup comprendre de vous, de votre parcours et de votre problème. Ce n’est qu’après vous avoir rencontré que nous vous conseillons les bons examens à faire et les soins qu’ils vous faut.

Tout ça arrive exclusivement au CFA, où notre équipe spécialisée dans des secteurs différents mais connectés entre eux, est là pour vous. Nous nous battrons à vos côtés jusqu’à la fin pour vous voir heureux !

Nos services

Vous êtes en train de réfléchir à entreprendre un parcours de procréation assistée ? Le premier pas à faire c’est de réserver une consultation avec nos professionnels. En effet, nous croyons que chaque histoire est unique et que chaque patient (et chaque couple) devrait partager son parcours et ses objectifs de manière qu’on puisse décider ensemble quelles démarches accomplir pour un parcours de procréation assistée complètement personnalisé.

Avec une simple prise de sang au laboratoire nous pouvons réaliser un bilan hormonal, c’est-à- dire un examen qui consiste à doser les différentes hormones présentes dans le sang. Grâce à cet examen nous sommes en mesure de détecter les déséquilibres hormonaux possibles, en trouver les causes et intervenir de la meilleure manière.

Le monitorage de l’ovulation est réalisé à travers toute une série d’échographies endovaginales et a une double fonction :

vérifier que l’ovulation se produise

augmenter les possibilités de fécondation avec des rapports ciblés

Cet examen est essentiel pour les couples qui décident de planifier une grossesse, ainsi que pour les femmes suivant une thérapie d’induction de l’ovulation.

Le spermogramme est l’un des premiers examens de laboratoire à faire chez l’homme lorsqu’il pourrait y avoir des problèmes d’infertilité du couple. Il s’agit d’un test de diagnostic qui sert à analyser le liquide séminal et à en examiner la qualité, la quantité de spermatozoïdes, leur forme et leur motilité. Il faut savoir que le spermogramme sert non seulement à diagnostiquer l’infertilité, mais aussi à prévenir des pathologies.

L’ovulation est le moment du cycle menstruel où la femme atteint son niveau de fertilité maximum et est donc prête pour la fécondation. L’ovulation commence environ 14 jours avant le début des menstruations et se caractérise parfois par des symptômes tels que des crampes abdominales, un gonflement des seins et des sécrétions vaginales.

La folliculogenèse, voire le processus de maturation des follicules, commence pendant la puberté et peut se terminer de deux manières : la mort du follicule (ou atrésie) ou l’ovulation. La folliculogenèse a une durée exacte : elle commence avec la puberté et elle se termine avec la ménopause.

Si on entreprend un parcours de procréation assistée, il est utile de mesurer la réserve ovarienne, donc analyser combien de follicules il y a dans les ovaires de la femme à un moment donné de sa vie. En effet l’âge, la génétique, les interventions chirurgicales et les thérapies susceptibles d’affecter la fertilité, ce sont tous des facteurs qui influencent la réserve ovarienne des femmes.

Une alimentation équilibrée peut augmenter la fertilité. Une alimentation équilibrée et un mode de vie sain en général sont essentiels autant pour les femmes que pour les hommes pour prendre soin de sa fertilité. C’est pourquoi l’approche holistique à la procréation assistée que nous proposons au CFA inclut même des consultations avec un nutritionniste, qui accompagnera les couples pendant tout leur voyage à la recherche d’un enfant.

L’hystéroscopie est une endoscopie qui permet de diagnostiquer d’éventuelles pathologies de la cavité utérine. Cet examen est réalisé en ambulatoire et consiste à observer l’intérieur de l’utérus à travers l’hystéroscope, un appareil doté d’une petite caméra qui permet de détecter les malformations de l’utérus, les polypes, les fibromes ou les cancers. L’hystéroscopie est très utile pour trouver les causes d’une éventuelle infertilité et est donc conseillé pour les femmes intentionnées à entreprendre un parcours de procréation assistée.

La syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’une des principales causes d’infertilité chez la femme, mais tous les symptômes ne sont pas liés à cette pathologie. Voyons ensemble les plus communs :

● la premier signal d’alarme est sans aucun doute l’irrégularité des #règles

● souvent, on s’aperçoit d’avoir cette syndrome lorsqu’on essaie d’avoir un #enfant, mais on n’y arrive pas

● dans de nombreux cas, on observe une prise de poids inexpliquée

● un dérèglement hormonal qui provoque de l’#acne et de la #pilosité même sur le visage et sur la poitrine

Il est très important de ne pas négliger ces symptômes et d’en parler à son #gynécologue afin qu’il puisse

prescrire les #traitements corrects.

Les rapports ciblés pendant l’ovulation sont conseillés pour augmenter les probabilités de fécondation. En effet, les possibilités de tomber enceinte sont plus élevées pendant l’ovulation. On appelle « fenêtre de fertilité » cette période du mois pendant laquelle la femme est plus fertile et qui est donc conseillée pour essayer de tomber enceinte. Mais attention : cette pratique peut causer un grand stress émotionnel.

Le transfert d’embryon est peut-être le moment le plus important dans un parcours de procréation assistée : il s’agit d’une opération qui consiste à littéralement transférer l’embryon du laboratoire à l’utérus de la femme. Le transfert d’embryon est un processus très délicat, mais qui ne doit pas inquiéter. Vu le stress psychologique entraîné par la peur de voir échouer l’essai, et son rêve avec, nous conseillons à nos patientes de rester environ une heure au CFA après cette opération pour se détendre et reposer un peu. Après le transfert, ce n’est pas du tout nécessaire de rester au lit, mais on conseille d’éviter tout effort physique excessif, toute source de stress et de suivre une alimentation équilibrée.

Dans l’IUI on recueille du sperme qui est ensuite traité au laboratoire afin d’obtenir la plus haute quantité possible de spermatozoïdes mobiles et morphologiquement normaux à l’intérieur d’un volume réduit d’un moyen de récolte sans plasma séminal, leucocytes et bactéries. Les spermatozoïdes sont ensuite transférés directement dans la cavité utérine à travers un petit tuyau très fin en plastique souple (cathéter), quelques heures avant l’ovulation. De cette manière, on permet aux spermatozoïdes de traverser la barrière qui pourrait être crée par la glaire cervicale (c’est le cas de la stérilité cervicale) et de s’approcher des ovocytes.

L’insémination intra-utérine est un processus plutôt simple, mais dont l’effet pour le traitement de la stérilité est limité. On l’utilise normalement pour les couples avec infertilité masculine faible-modérée, par facteur cervical, et pour les cas d’infertilité inexpliquée (idiopathique). Pour appliquer cette technique il faut que la folliculogenèse soit régulière et qu’une ou les deux tubes soient perméables. L’insémination peut donc être complétée en cycle naturel ou avec une légère thérapie hormonale.

Normalement dans l’ovaire de la femme un seul ovocyte arrive à maturation à chaque cycle. Cependant, si l’on veut maximiser les possibilités de fécondation, on a besoin de plus d’un ovocyte : c’est là qu’intervient la stimulation ovarienne. Cette technique consiste à administrer certains médicaments permettant de stimuler la production de plusieurs ovocytes, tout en garantissant leur bonne qualité. Avant d’élaborer un protocole, notre équipe examine la femme sous de nombreux aspects, tels que son profil hormonal, ses caractéristiques physiques et son âge. Seulement après une analyse approfondie on décide quels médicaments administrer.

Les quantités et les typologies de médicaments varient en effet d’une femme à l’autre. Les principaux médicaments hormonaux utilisés pour la stimulation ovarienne sont trois :

Les Gonadotrophines

Les agonistes et les antagonistes du GnRH

3. l’hCG

La stimulation ovarienne est réalisée par injection sous-cutanée, avec une injection par jour pour une période de 10 à 14 jours.

Le cycle naturel se produit sans médicaments pendant l’ovulation. L’avantage du cycle naturel est qu’il évite le stress et l’inconfort de la stimulation ovarienne. Cependant, il faut réaliser des examens échographiques et hormonaux fréquents pour monitorer le développement folliculaire jusqu’à l’ovulation et ainsi planifier le prélèvement des ovocytes.

La fécondation in vitro avec transfert d’embryon (FIVET) a été utilisée dans le domaine clinique il y a quarante ans pour la première fois ; depuis, plus de dix millions d’enfants ont été conçus par cette technique. La fécondation in vitro est une technique de Procréation Médicalement Assistée de deuxième niveau visant à augmenter les probabilités de réussite de fécondation chez ces couples pour lesquels d’autres traitements pour la fertilité n’ont pas marché ou ne sont pas possibles.

Après la stimulation ovarienne, les ovocytes obtenus sont prélevés de l’ovaire (pick-up) et mis en contact direct avec les spermatozoïdes préalablement préparés et sélectionnés. Grâce à la FIVET, l’ovocyte est donc fécondé en laboratoire, dans des conditions optimales pour sa fertilisation et son développement ; ensuit, l’embryon ainsi formé sera transféré dans l’utérus

de la femme. On recourt à la Fivet surtout :

– à la suite de plusieurs échecs avec l’insémination intra

-utérine – dans les cas où les trompes de Fallope sont obstruées

– dans les cas de infertilité masculine légère-modérée

La fécondation hétérologue est une technique de procréation médicalement assistée utilisées pour les couples chez lesquels on a diagnostiqué une condition d’infertilité permanente de l’un ou des deux partenaires, ce qui rend insuffisante la fécondation homologue. Dans la fécondation hétérologue, l’un des deux gamètes (ou les deux) n’appartient pas au couple, mais à des donneurs extérieurs anonymes.

L’IMSI, injection intracytoplasmique de spermatozoïdes morphologiquement sélectionnés, nous permet de sélectionner les spermatozoïdes morphologiquement meilleurs, à travers un microscope à fort grossissement, sans coloration et en temps réel. De nombreux études montrent que la technique ICSI avec sélection de spermatozoïdes à fort grossissement assure un taux de réussite et de grossesse plus élevé, surtout dans les cas où les altérations spermatiques sont liées à un indice de fragmentation de l’ADN élevé.

La technique IMSI permet d’améliorer les résultats dans les cas suivants :

• ICSI sans fécondation ;

• échec d’implantation ;

• en présence d’une tératozoospermie sévère ;

• en présence d’un indice de fragmentation de l’ADN élevé ;

• probablement, dans le traitement de l’infertilité idiopathique aussi.

L’ICSI, utilisé en 1992 pour la première fois, est une technique de procréation assistée qui, ces dernières années, a révolutionné le traitement de l’infertilité masculine, et offert même aux hommes avec peu de spermatozoïdes la possibilité de devenir pères.

Cette technique consiste à injecter le spermatozoïde directement à l’intérieur de l’ovocyte, à travers des appareils sophistiqués.

L’ICSI est utilisée :

– à la suite de plusieurs échecs avec la FIVET

– en cas d’endométriose

– en présence d’une infertilité masculine sévère et de sperme et/ou ovocytes congelés

Afin de maximiser les possibilités de réussite, la femme est soumise à un traitement de stimulation ovarienne (induction de l’ovulation) permettant de recueillir le plus d’ovocytes possible.

C’est une microchirurgie que l’on réalise sur les embryons afin d’augmenter les possibilités d’implantation et de grossesse. En effet l’embryon, après avoir atteint le stade de blastocyste, doit sortir de la couverture qui l’entoure, appelée « zone pellucide », pour aller s’implanter dans l’utérus et commencer à recevoir l’oxygène et les nutriments de la mère. L’AZH permet d’affiner, grâce à un laser, la zone pellucide de l’embryon avant le transfert dans l’utérus. Cela facilite l’adhésion de l’embryon à la paroi utérine.

Cette technique est conseillée :

– pour les femmes en âge de reproduction avancé (>38 ans)

– lorsque les niveaux de l’hormone folliculostimulante (FSH), au troisième jour, se révèlent très élevés

– à la suite de plusieurs échecs avec la fécondation in vitro

– quand, tout simplement, on observe une zone pellucide de l’embryon épaissie.

Le don d’ovocytes est un acte qu’une femme fait pour donner ses ovocytes à une autre femme. Cette technique de procréation assistée est réalisée dans l’anonymat le plus complet, afin de respecter la confidentialité de la donneuse et de la receveuse à la fois. Choisir de donner ses ovocytes est un acte de grande sensibilité, car cela permet à de nombreux couples de réaliser leur rêve. Beaucoup de femmes en effet, à cause de certaines maladies, de certains traitements tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie, ou de leur âge ont des problèmes liés aux ovocytes et aujourd’hui, heureusement, elles peuvent recourir au don d’ovocytes. Les ovocytes peuvent être donnés par des femmes en bonne santé, jeunes et dans la famille desquelles aucune maladie génétique n’a été diagnostiquée. Le don d’ovocytes est un acte de solidarité qui permet de rendre heureuses plein de femmes qui désirent avoir en un enfant à tout prix.

Le don de sperme est un acte volontaire qui donne aux hommes la possibilité de donner leur sperme afin qu’il soit utilisé pour des techniques de procréation assistée et d’aider de nombreux couples qui n’arrivent pas à avoir d’enfants. Le don de sperme, ainsi que celui des ovocytes, est réalisé dans l’anonymat le plus complet et uniquement après toute une série d’examens génétiques visant à exclure toute maladie héréditaire. Le sperme est également conservé pour une période de quarantaine pendant laquelle on s’assure qu’il n’y ait pas de maladies sexuellement transmissibles présentes.

La technique freeze all est une nouvelle alternative au transfert d’embryons frais (ET) pour les cycles de fécondation in vitro (IVF). Elle consiste à congéler tous les ovocytes ou les embryons, sans transfert après la ponction. Ensuite, après le cycle menstruel (ou plusieurs cycles menstruels), on réalise le transfert des embryons congelés en cycle naturel ou en cycle artificiel.

On parle de Double stimulation ou DuoStim quand, au cours d’un seul cycle menstruel, on réalise deux stimulations et deux récoltes d’ovocytes pendant les phases folliculaire et lutéale. Le protocole DuoStim s’avère particulièrement efficace pour les femmes chez lesquelles il faut optimiser la réserve ovarienne, par exemple les patientes atteintes de cancer ou qui ont un âge avancé.

La TESE, Extraction Des Spermatozoïdes Des Testicules (ou biopsie testiculaire) permet de récupérer des spermatozoïdes à l’aide d’un microscope. Cette technique est utile pour essayer de prélever des spermatozoïdes en cas d’azoospermie, c’est-à-dire une condition dans laquelle il n’y a pas de spermatozoïdes dans l’éjaculat. Les spermatozoïdes ainsi récupérés peuvent être utilisés dans la procréation assistée.

Quand on décide d’entreprendre un parcours de procréation assistée, les deux partenaires ont besoin de soutien psychologique. Il ne faut en effet pas sous-estimer l’effet que le stress peut avoir, non seulement lorsqu’on est confronté à des échecs, mais aussi pendant toute la période d’examens et de traitements auxquels on est soumis avant le transfert. Au CFA, nos patients reçoivent un soutien professionnel dès leur première consultation jusqu’à la réalisation de leur rêve de devenir parents.

Vous êtes en train de réfléchir à entreprendre un parcours de procréation assistée ? Le premier pas à faire c’est de réserver une consultation avec nos professionnels. En effet, nous croyons que chaque histoire est unique et que chaque patient (et chaque couple) devrait partager son parcours et ses objectifs de manière qu’on puisse décider ensemble quelles démarches accomplir pour un parcours de procréation assistée complètement personnalisé.

Avec une simple prise de sang au laboratoire nous pouvons réaliser un bilan hormonal, c’est-à- dire un examen qui consiste à doser les différentes hormones présentes dans le sang. Grâce à cet examen nous sommes en mesure de détecter les déséquilibres hormonaux possibles, en trouver les causes et intervenir de la meilleure manière.

Le monitorage de l’ovulation est réalisé à travers toute une série d’échographies endovaginales et a une double fonction :

vérifier que l’ovulation se produise

augmenter les possibilités de fécondation avec des rapports ciblés

Cet examen est essentiel pour les couples qui décident de planifier une grossesse, ainsi que pour les femmes suivant une thérapie d’induction de l’ovulation.

Le spermogramme est l’un des premiers examens de laboratoire à faire chez l’homme lorsqu’il pourrait y avoir des problèmes d’infertilité du couple. Il s’agit d’un test de diagnostic qui sert à analyser le liquide séminal et à en examiner la qualité, la quantité de spermatozoïdes, leur forme et leur motilité. Il faut savoir que le spermogramme sert non seulement à diagnostiquer l’infertilité, mais aussi à prévenir des pathologies.

L’ovulation est le moment du cycle menstruel où la femme atteint son niveau de fertilité maximum et est donc prête pour la fécondation. L’ovulation commence environ 14 jours avant le début des menstruations et se caractérise parfois par des symptômes tels que des crampes abdominales, un gonflement des seins et des sécrétions vaginales.

La folliculogenèse, voire le processus de maturation des follicules, commence pendant la puberté et peut se terminer de deux manières : la mort du follicule (ou atrésie) ou l’ovulation. La folliculogenèse a une durée exacte : elle commence avec la puberté et elle se termine avec la ménopause.

Si on entreprend un parcours de procréation assistée, il est utile de mesurer la réserve ovarienne, donc analyser combien de follicules il y a dans les ovaires de la femme à un moment donné de sa vie. En effet l’âge, la génétique, les interventions chirurgicales et les thérapies susceptibles d’affecter la fertilité, ce sont tous des facteurs qui influencent la réserve ovarienne des femmes.

Une alimentation équilibrée peut augmenter la fertilité. Une alimentation équilibrée et un mode de vie sain en général sont essentiels autant pour les femmes que pour les hommes pour prendre soin de sa fertilité. C’est pourquoi l’approche holistique à la procréation assistée que nous proposons au CFA inclut même des consultations avec un nutritionniste, qui accompagnera les couples pendant tout leur voyage à la recherche d’un enfant.

L’hystéroscopie est une endoscopie qui permet de diagnostiquer d’éventuelles pathologies de la cavité utérine. Cet examen est réalisé en ambulatoire et consiste à observer l’intérieur de l’utérus à travers l’hystéroscope, un appareil doté d’une petite caméra qui permet de détecter les malformations de l’utérus, les polypes, les fibromes ou les cancers. L’hystéroscopie est très utile pour trouver les causes d’une éventuelle infertilité et est donc conseillé pour les femmes intentionnées à entreprendre un parcours de procréation assistée.

La syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est l’une des principales causes d’infertilité chez la femme, mais tous les symptômes ne sont pas liés à cette pathologie. Voyons ensemble les plus communs :

● la premier signal d’alarme est sans aucun doute l’irrégularité des #règles

● souvent, on s’aperçoit d’avoir cette syndrome lorsqu’on essaie d’avoir un #enfant, mais on n’y arrive pas

● dans de nombreux cas, on observe une prise de poids inexpliquée

● un dérèglement hormonal qui provoque de l’#acne et de la #pilosité même sur le visage et sur la poitrine

Il est très important de ne pas négliger ces symptômes et d’en parler à son #gynécologue afin qu’il puisse

prescrire les #traitements corrects.

Les rapports ciblés pendant l’ovulation sont conseillés pour augmenter les probabilités de fécondation. En effet, les possibilités de tomber enceinte sont plus élevées pendant l’ovulation. On appelle « fenêtre de fertilité » cette période du mois pendant laquelle la femme est plus fertile et qui est donc conseillée pour essayer de tomber enceinte. Mais attention : cette pratique peut causer un grand stress émotionnel.

Le transfert d’embryon est peut-être le moment le plus important dans un parcours de procréation assistée : il s’agit d’une opération qui consiste à littéralement transférer l’embryon du laboratoire à l’utérus de la femme. Le transfert d’embryon est un processus très délicat, mais qui ne doit pas inquiéter. Vu le stress psychologique entraîné par la peur de voir échouer l’essai, et son rêve avec, nous conseillons à nos patientes de rester environ une heure au CFA après cette opération pour se détendre et reposer un peu. Après le transfert, ce n’est pas du tout nécessaire de rester au lit, mais on conseille d’éviter tout effort physique excessif, toute source de stress et de suivre une alimentation équilibrée.

Dans l’IUI on recueille du sperme qui est ensuite traité au laboratoire afin d’obtenir la plus haute quantité possible de spermatozoïdes mobiles et morphologiquement normaux à l’intérieur d’un volume réduit d’un moyen de récolte sans plasma séminal, leucocytes et bactéries. Les spermatozoïdes sont ensuite transférés directement dans la cavité utérine à travers un petit tuyau très fin en plastique souple (cathéter), quelques heures avant l’ovulation. De cette manière, on permet aux spermatozoïdes de traverser la barrière qui pourrait être crée par la glaire cervicale (c’est le cas de la stérilité cervicale) et de s’approcher des ovocytes.

L’insémination intra-utérine est un processus plutôt simple, mais dont l’effet pour le traitement de la stérilité est limité. On l’utilise normalement pour les couples avec infertilité masculine faible-modérée, par facteur cervical, et pour les cas d’infertilité inexpliquée (idiopathique). Pour appliquer cette technique il faut que la folliculogenèse soit régulière et qu’une ou les deux tubes soient perméables. L’insémination peut donc être complétée en cycle naturel ou avec une légère thérapie hormonale.

Normalement dans l’ovaire de la femme un seul ovocyte arrive à maturation à chaque cycle. Cependant, si l’on veut maximiser les possibilités de fécondation, on a besoin de plus d’un ovocyte : c’est là qu’intervient la stimulation ovarienne. Cette technique consiste à administrer certains médicaments permettant de stimuler la production de plusieurs ovocytes, tout en garantissant leur bonne qualité. Avant d’élaborer un protocole, notre équipe examine la femme sous de nombreux aspects, tels que son profil hormonal, ses caractéristiques physiques et son âge. Seulement après une analyse approfondie on décide quels médicaments administrer.

Les quantités et les typologies de médicaments varient en effet d’une femme à l’autre. Les principaux médicaments hormonaux utilisés pour la stimulation ovarienne sont trois :

Les Gonadotrophines

Les agonistes et les antagonistes du GnRH

3. l’hCG

La stimulation ovarienne est réalisée par injection sous-cutanée, avec une injection par jour pour une période de 10 à 14 jours.

Le cycle naturel se produit sans médicaments pendant l’ovulation. L’avantage du cycle naturel est qu’il évite le stress et l’inconfort de la stimulation ovarienne. Cependant, il faut réaliser des examens échographiques et hormonaux fréquents pour monitorer le développement folliculaire jusqu’à l’ovulation et ainsi planifier le prélèvement des ovocytes.

La fécondation in vitro avec transfert d’embryon (FIVET) a été utilisée dans le domaine clinique il y a quarante ans pour la première fois ; depuis, plus de dix millions d’enfants ont été conçus par cette technique. La fécondation in vitro est une technique de Procréation Médicalement Assistée de deuxième niveau visant à augmenter les probabilités de réussite de fécondation chez ces couples pour lesquels d’autres traitements pour la fertilité n’ont pas marché ou ne sont pas possibles.

Après la stimulation ovarienne, les ovocytes obtenus sont prélevés de l’ovaire (pick-up) et mis en contact direct avec les spermatozoïdes préalablement préparés et sélectionnés. Grâce à la FIVET, l’ovocyte est donc fécondé en laboratoire, dans des conditions optimales pour sa fertilisation et son développement ; ensuit, l’embryon ainsi formé sera transféré dans l’utérus

de la femme. On recourt à la Fivet surtout :

– à la suite de plusieurs échecs avec l’insémination intra

-utérine – dans les cas où les trompes de Fallope sont obstruées

– dans les cas de infertilité masculine légère-modérée

La fécondation hétérologue est une technique de procréation médicalement assistée utilisées pour les couples chez lesquels on a diagnostiqué une condition d’infertilité permanente de l’un ou des deux partenaires, ce qui rend insuffisante la fécondation homologue. Dans la fécondation hétérologue, l’un des deux gamètes (ou les deux) n’appartient pas au couple, mais à des donneurs extérieurs anonymes.

L’IMSI, injection intracytoplasmique de spermatozoïdes morphologiquement sélectionnés, nous permet de sélectionner les spermatozoïdes morphologiquement meilleurs, à travers un microscope à fort grossissement, sans coloration et en temps réel. De nombreux études montrent que la technique ICSI avec sélection de spermatozoïdes à fort grossissement assure un taux de réussite et de grossesse plus élevé, surtout dans les cas où les altérations spermatiques sont liées à un indice de fragmentation de l’ADN élevé.

La technique IMSI permet d’améliorer les résultats dans les cas suivants :

• ICSI sans fécondation ;

• échec d’implantation ;

• en présence d’une tératozoospermie sévère ;

• en présence d’un indice de fragmentation de l’ADN élevé ;

• probablement, dans le traitement de l’infertilité idiopathique aussi.

L’ICSI, utilisé en 1992 pour la première fois, est une technique de procréation assistée qui, ces dernières années, a révolutionné le traitement de l’infertilité masculine, et offert même aux hommes avec peu de spermatozoïdes la possibilité de devenir pères.

Cette technique consiste à injecter le spermatozoïde directement à l’intérieur de l’ovocyte, à travers des appareils sophistiqués.

L’ICSI est utilisée :

– à la suite de plusieurs échecs avec la FIVET

– en cas d’endométriose

– en présence d’une infertilité masculine sévère et de sperme et/ou ovocytes congelés

Afin de maximiser les possibilités de réussite, la femme est soumise à un traitement de stimulation ovarienne (induction de l’ovulation) permettant de recueillir le plus d’ovocytes possible.

C’est une microchirurgie que l’on réalise sur les embryons afin d’augmenter les possibilités d’implantation et de grossesse. En effet l’embryon, après avoir atteint le stade de blastocyste, doit sortir de la couverture qui l’entoure, appelée « zone pellucide », pour aller s’implanter dans l’utérus et commencer à recevoir l’oxygène et les nutriments de la mère. L’AZH permet d’affiner, grâce à un laser, la zone pellucide de l’embryon avant le transfert dans l’utérus. Cela facilite l’adhésion de l’embryon à la paroi utérine.

Cette technique est conseillée :

– pour les femmes en âge de reproduction avancé (>38 ans)

– lorsque les niveaux de l’hormone folliculostimulante (FSH), au troisième jour, se révèlent très élevés

– à la suite de plusieurs échecs avec la fécondation in vitro

– quand, tout simplement, on observe une zone pellucide de l’embryon épaissie.

Le don d’ovocytes est un acte qu’une femme fait pour donner ses ovocytes à une autre femme. Cette technique de procréation assistée est réalisée dans l’anonymat le plus complet, afin de respecter la confidentialité de la donneuse et de la receveuse à la fois. Choisir de donner ses ovocytes est un acte de grande sensibilité, car cela permet à de nombreux couples de réaliser leur rêve. Beaucoup de femmes en effet, à cause de certaines maladies, de certains traitements tels que la chimiothérapie ou la radiothérapie, ou de leur âge ont des problèmes liés aux ovocytes et aujourd’hui, heureusement, elles peuvent recourir au don d’ovocytes. Les ovocytes peuvent être donnés par des femmes en bonne santé, jeunes et dans la famille desquelles aucune maladie génétique n’a été diagnostiquée. Le don d’ovocytes est un acte de solidarité qui permet de rendre heureuses plein de femmes qui désirent avoir en un enfant à tout prix.

Le don de sperme est un acte volontaire qui donne aux hommes la possibilité de donner leur sperme afin qu’il soit utilisé pour des techniques de procréation assistée et d’aider de nombreux couples qui n’arrivent pas à avoir d’enfants. Le don de sperme, ainsi que celui des ovocytes, est réalisé dans l’anonymat le plus complet et uniquement après toute une série d’examens génétiques visant à exclure toute maladie héréditaire. Le sperme est également conservé pour une période de quarantaine pendant laquelle on s’assure qu’il n’y ait pas de maladies sexuellement transmissibles présentes.

La technique freeze all est une nouvelle alternative au transfert d’embryons frais (ET) pour les cycles de fécondation in vitro (IVF). Elle consiste à congéler tous les ovocytes ou les embryons, sans transfert après la ponction. Ensuite, après le cycle menstruel (ou plusieurs cycles menstruels), on réalise le transfert des embryons congelés en cycle naturel ou en cycle artificiel.

On parle de Double stimulation ou DuoStim quand, au cours d’un seul cycle menstruel, on réalise deux stimulations et deux récoltes d’ovocytes pendant les phases folliculaire et lutéale. Le protocole DuoStim s’avère particulièrement efficace pour les femmes chez lesquelles il faut optimiser la réserve ovarienne, par exemple les patientes atteintes de cancer ou qui ont un âge avancé.

La TESE, Extraction Des Spermatozoïdes Des Testicules (ou biopsie testiculaire) permet de récupérer des spermatozoïdes à l’aide d’un microscope. Cette technique est utile pour essayer de prélever des spermatozoïdes en cas d’azoospermie, c’est-à-dire une condition dans laquelle il n’y a pas de spermatozoïdes dans l’éjaculat. Les spermatozoïdes ainsi récupérés peuvent être utilisés dans la procréation assistée.

Quand on décide d’entreprendre un parcours de procréation assistée, les deux partenaires ont besoin de soutien psychologique. Il ne faut en effet pas sous-estimer l’effet que le stress peut avoir, non seulement lorsqu’on est confronté à des échecs, mais aussi pendant toute la période d’examens et de traitements auxquels on est soumis avant le transfert. Au CFA, nos patients reçoivent un soutien professionnel dès leur première consultation jusqu’à la réalisation de leur rêve de devenir parents.

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